Les clubs de cannabis en plein essor de Barcelone transforment l’Espagne en Hollande du Sud

Les clubs de cannabis en plein essor de Barcelone transforment l’Espagne en Pays-Bas du Sud. Si l’on en croit le gouvernement de la ville, les clubs ont considérablement réduit la consommation et le commerce de rue. Même la police admet que les clubs fonctionnent. Mais en font-ils assez pour enrayer le problème ? La Cour suprême pourrait bientôt statuer que les clubs ne sont pas réglementés par la loi municipale. La réponse dépend de la nature des clubs.

Les Espagnols ont légalisé la marijuana médicale en 2003 et ont ensuite autorisé une consommation limitée dans les clubs. Les Néerlandais, cependant, ont influencé le débat et ont par la suite légalisé la consommation de cannabis dans le pays. En Catalogne, des militants se sont organisés pour maintenir ouverts les clubs de cannabis. Cependant, le tribunal du Pays basque s’est prononcé contre les clubs de cannabis et a rejeté la demande de légalisation d’Albert Tio. Aux Pays-Bas, une situation similaire se produisait.

Les règles et réglementations contradictoires concernant l’utilisation de la marijuana en Espagne semblent être une contradiction au regard de la loi. Alors que la consommation individuelle de marijuana est autorisée dans les maisons privées, les consommateurs de cannabis sont passibles de lourdes amendes dans les espaces publics. Le parti espagnol Partido Popular a résisté à la tendance à la dépénalisation en adoptant une nouvelle loi sur la sécurité publique en 2015. En vertu de cette nouvelle loi, les amendes administratives pour stupéfiants sont passées à 600 euros et les peines pour les infractions graves ont été doublées.

Alors que le gouvernement catalan ne voulait pas que Barcelone soit le prochain Amsterdam, l’agence de santé publique de la ville a proposé une réglementation stricte sur les clubs de cannabis. Avec plus de 700 cannabis clubs à Barcelone, la ville est bien partie pour rivaliser avec la capitale hollandaise. En fait, le nombre de clubs à Barcelone est passé de 40 en 2010 à plus de 700 en 2018.

La diabolisation de la peau foncée conduit à un traitement disproportionné des personnes de couleur par les forces de l’ordre. La disproportion qui en résulte se manifeste par des poursuites disproportionnées pour les infractions liées au cannabis. L’industrie européenne du cannabis économie cannabis est devenue une activité lucrative pour les petits cultivateurs, mais ils doivent être protégés des réseaux criminels et autres criminels. Cette disproportion doit cesser ! Mais si un pays ne sévit pas contre le cannabis illégal, il deviendra une Hollande du Sud.

Mais le système judiciaire espagnol est intervenu pour arrêter la croissance de la drogue. L’UDEV a démantelé l’un des plus grands réseaux chinois opérant en Espagne. Deux de ses plantations ont été découvertes à Barcelone, une à https://www.ministryofcannabis.com/fr/graines-cannabis-feminisees Gérone et une à Barcelone. En plus de la descente de police, le gouvernement espagnol a également interrompu le projet en attendant la récolte. La justice espagnole a stoppé le projet avant que le cannabis ne puisse être récolté.

Bien que l’interdiction du cannabis soit un gros problème, elle a un impact négatif majeur sur la culture du pays. Plusieurs pays aux frontières ouvertes pourraient imposer des restrictions plus strictes sur le cannabis si les cas de COVID-19 augmentaient. Cela réduirait les options de recharge internationale, ce qui rendrait difficile le retour à la maison. De plus, certains magasins de cannabis sont des pièges à touristes, ils sont donc surestimés et ne sont pas de grande qualité.

La guerre actuelle contre le CBD n’est pas terminée, mais la lutte pour la légalisation s’intensifie. Le gouvernement espagnol adoptera probablement des lois plus strictes sur la consommation de cannabis avant de lui permettre de devenir légal. A Barcelone, il sera peut-être difficile de rejoindre les clubs, mais la bataille n’est pas encore terminée. La prochaine décision COVID aura un impact sur la rapidité des réformes de l’industrie du cannabis dans le pays. En attendant, il y a certaines choses auxquelles la ville devrait se préparer.

La légalisation de la marijuana à Barcelone en a fait l’une des destinations touristiques les plus populaires pour l’herbe légale en Europe. La ville était l’un des premiers centres du chocolat lorsqu’elle est entrée pour la première fois en Europe depuis le Mexique. Il abrite le musée Picasso et le musée Miro. Le Musée national d’art de Catalogne abrite la plus vaste collection d’art roman du pays. La ville possède également un impressionnant musée d’art contemporain, connu sous le nom de MNAC.

Il existe plusieurs films sur l’industrie florissante de la marijuana à Barcelone. The Lonely Hearts Club est un roman populaire qui dépeint le côté obscur de la ville. Il y a aussi une grande scène de restaurants, avec deux des restaurants les plus réputés au monde. elBulli a été élu meilleur restaurant du monde par les lecteurs. Il est difficile de trouver un restaurant à Barcelone qui ne serve pas de marijuana, mais cela vaut certainement la peine d’essayer.

Malgré les conséquences juridiques et sociales, ces événements n’ont fait que rendre l’industrie de la marijuana plus attractive. Ces changements ont également eu un impact sur le statut juridique de la marijuana, ce qui a donné lieu à un mouvement social de cannabis club en Catalogne. Ce mouvement a brouillé les frontières entre le cannabis illégal et légal, créant un refuge sûr pour les utilisateurs et les entrepreneurs. De plus, le mouvement des clubs sociaux de cannabis fait de Barcelone un foyer de mauvaises herbes illégales.